Alimentation

Fatigue, stress, tristesse, ennui, et météo capricieuse, peuvent nous pousser à chercher un peu de réconfort dans la nourriture.

Avec le (dé)confinement le rythme de vie est également modifié,
Le manque de temps peut nous faire craquer pour la facilité de la «malbouffe»


Que propose la sophrologie pour ne pas basculer dans une routine nutritive malsaine ?

  1. S’écouter
    Être à l’écoute de soi, ses sensations, ses émotions, permet de savoir si vous avez réellement faim, si c’est une envie, ou une émotion qui a déclenché une pulsion alimentaire, comme pour chercher du réconfort, et manger ses émotions

  2. Gérer les pulsions / Arrêter de manger ses émotions
    S’il s’agit d’une pulsion liée à une émotion:
    La pulsion n’est que le moyen d’expression de cette émotion.
    On parle alors de “manger ses émotions”.
    Les manger pour les enfouir, les contourner, ne pas les vivre, en préférant contrer les sensations négatives par le réconfort d’une sensation agréable dans le sucré, salé, gras etc…

    Il est important d’identifier cette émotion et la pulsion qui en découle, pour pouvoir la considérer, et travailler avec.

    Petit rappel des risques potentiels à contrer et réprimer une émotion

    Si, en réprimant cette envie de grignotage, vos sensations deviennent désagréables, là encore, la sophrologie peut vous aider.

  3. S’occuper
    Il arrive que le grignotage soit la conséquence de l’ennui, ou d’une mauvaise habitude, devant la tv par exemple.
    Dans ce cas, des exercices de sophrologie peuvent occuper votre esprit jusqu’à ce que cette envie se dissipe.

  4. S’oxygéner
    Les exercices de respiration permettent de s’oxygéner, et donc de réguler ses émotions, réduire le stress, lutter contre les coups de mou.

    Petit + niveau digestion:
    la respiration abdominale a des effets comparables à un massage naturel sur la vésicule, le foie, le pancréas, et les intestins; dénouant ces zone et favorisant ainsi les fonctions d’assimilation et d’élimination de notre système digestif.

  5. Savourer
    Bien souvent, nous ne prenons malheureusement pas le temps de savourer ce que nous mangeons, et nous enchaînons une 2e, 3e part, pour pouvoir profiter des saveurs plus longtemps.
    Dans le cas d’une émotion négative, on peut par exemple tenter de contrer ces sensations désagréables en cumulant les activités : allumer la tv, tout en étant sur son téléphone, et en mangeant.
    Ce qui nous renvoie au paragraphe sur les émotions , et au fait de ne pas prendre le temps de déguster pleinement et consciemment.

    La Sophro-dégustation est un exercice qui vous guide, afin de prendre le temps de savourer vos aliments pleinement, en prenant votre temps.

  6. Déculpabiliser
    Nous sommes humains, céder à la tentation occasionnellement n’est pas dramatique, tant que cela ne devient pas quotidien (sauf si cela vous convient).
    Prendre du recul, s’octroyer un écart avec bienveillance envers soi-même, fait partie des champs d’action de la sophrologie.

Accompagnement diététique


Si vous ressentez le besoin de complémenter votre démarche avec un accompagnement diététique,
je collabore avec Jessica KRENTZ, diététicienne libérale au sein de deux cabinets à Wasselonne et Lingolsheim

A travers un suivi thérapeutique et bienveillant, Jessica vous accompagne afin de trouver une vie alimentaire épanouie, en travaillant sur votre environnement et votre personnalité.
Sa priorité sera de vous aider à (re)trouver une harmonie entre votre esprit et votre organisme, un mélange sain entre envies et besoins, afin d'atteindre votre objectif.

La diététique et la sophrologie sont deux disciplines complémentaires.
Des prises en charges doubles sont proposées ainsi que des ateliers de groupe nommésophro-diet”.


Dans le cas de Troubles du Comportement Alimentaire,
ces pratiques sont complémentaires à votre suivi médical, mais ne remplace pas celui-ci

MALLAURY WALDBURGER