Accompagner la douleur Partie 2
Accompagner la douleur par la sophrologie c’est
Être à l’écoute, de l’être humain qui souffre
De sa douleur qui s’exprime
De ses besoins, ses craintes, ses limites
Ses échecs thérapeutiques
Son errance médicale
La liste de praticiens/docteurs rencontrés avec ou sans succès
Son regard, celui des autres, des médecins, des proches
C’est croire sa souffrance
Entendre sa fatigue physique, mentale et émotionnelle.
Accueillir cette personne et sa douleur, telle qu’elle se présente. Sans la nier, ou la minimiser.
C’est respecter son ressenti, et travailler avec.
C’est trop souvent passer après le tristement célèbre « c’est dans votre tête » parce-que « ce n’est pas sur l’examen »
L’absence d’examen/traitement médical concluant ne rend en aucun cas la douleur moins légitime ou moins réelle.
Comme je le dis souvent : je ne vois pas l’air que je respire, mais je le sens. Et ça suffit à le rendre réel dans mon ressenti.
En sophrologie, le corps et l’esprit ne font qu’un, une unité, une continuité.
Les ressentis (émotionnels, psychologiques, physique) sont au cœur de l’approche : Le point de départ, la ligne directrice et l’objectif s’agencent autour de ceux-ci.